"Ainsi la toute jeune députée nous dit-elle trouver bien maigre le bilan du conseil général en matière d’action sociale. Allons donc... Heureusement que le ridicule ne tue pas. Car ridicule, Monique Orphé l'est.
Elle semble oublier que son maire, Gilbert Annette, mais aussi Gérald Maillot, Jean-Claude Fidji ou encore Gérard Françoise, ses adjoints, siègent dans la majorité du Conseil général, et pour les trois derniers ils en sont même vice-présidents ! Tous ont voté les mesures qu’elle décrie aujourd’hui. Critiquer le bilan du Conseil général, c’est donc critiquer le bilan de MM Annette, Fidji, Françoise, Maillot.
Mais si elle critique le bilan de la majorité à laquelle appartient son maire, c'est donc qu'elle a pris du recul par rapport à lui, me direz-vous... Eh bien non, car c’est là où est la « subtilité » façon Annette : aujourd’hui, on veut faire croire au peuple qu’on n’est pour rien dans la gestion du Conseil général, histoire de pouvoir attaquer Nassimah Dindar, caillou dans le brodequin du caporal-maire et dans l’escarpin de sa protégée Bareigts depuis les dernières législatives ! Monique Orphé, obéissant soldat, suit ce mouvement, qui, tel un boomerang, se retournera contre ceux qui l’ont initié.
Le peuple, d’une part, est loin d’être idiot et il sait bien que les socialistes ont voté hier les mesures qu'ils critiquent aujourd'hui.
Mais les socialistes dionysiens, pour de simples raisons politiciennes, ne veulent visiblement pas assumer le bilan du Conseil général. Gilbert Annette et ses troupes nous disent donc très clairement n'être pour rien dans le chèque santé, n'avoir jamais voulu l’amélioration de l’habitat, la carte libre circulation, les bourses pour les étudiants, les chèques marmailles, le chèque électricité, et que sais-je encore !
"C'est pas nous, c'est elle qui a mis tout ça en place ! C'est pas nous qui avons amélioré votre quotidien, c'est pas nous qui vous avons soulagé, c'est Nassimah Dindar qui l'a fait, et on n'était pas d'accord !", expliquent-ils en se désolidarisant de la majorité. Pas sûr que dans les autres communes, le camp socialiste apprécie ce discours suicidaire.
Car, évidemment, cette posture absurde va nuire aux autres socialistes, à ceux qui comme Vlody par exemple, n’ont pas de caillou "Nassimah Dindar" dans leur chaussure… Oui, sans doute. Mais qu’importe pour le caporal Annette ! Il a déjà mené le parti socialiste à la division, il peut maintenant le conduire à sa perte. Tant que sa famille ne pâtit pas de l’effondrement, le monde peut bien s’écrouler.
Pas question, pour autant, de s’exposer en personne : le risque est trop grand. Le caporal n'est pas stupide, il faut le lui reconnaître. Donc il fait appel à de la chair-à-canon, à des soldats qui montent au front quitte à s’y faire canarder par la presse et la population.
Ils ne sont cependant pas très nombreux, ceux qui sont prêts à se sacrifier ainsi. Le tour est vite fait. Entre deux déplacements sur Paris, Monique Orphé passe à la revue. "Soldat Orphé", appelle le caporal. "Présent", répond Orphé, immédiatement au garde-à-vous. "Va attaquer le Conseil général", ordonne le caporal.
Et c’est comme ça que Monique Orphé est devenue ridicule…."
Elle semble oublier que son maire, Gilbert Annette, mais aussi Gérald Maillot, Jean-Claude Fidji ou encore Gérard Françoise, ses adjoints, siègent dans la majorité du Conseil général, et pour les trois derniers ils en sont même vice-présidents ! Tous ont voté les mesures qu’elle décrie aujourd’hui. Critiquer le bilan du Conseil général, c’est donc critiquer le bilan de MM Annette, Fidji, Françoise, Maillot.
Mais si elle critique le bilan de la majorité à laquelle appartient son maire, c'est donc qu'elle a pris du recul par rapport à lui, me direz-vous... Eh bien non, car c’est là où est la « subtilité » façon Annette : aujourd’hui, on veut faire croire au peuple qu’on n’est pour rien dans la gestion du Conseil général, histoire de pouvoir attaquer Nassimah Dindar, caillou dans le brodequin du caporal-maire et dans l’escarpin de sa protégée Bareigts depuis les dernières législatives ! Monique Orphé, obéissant soldat, suit ce mouvement, qui, tel un boomerang, se retournera contre ceux qui l’ont initié.
Le peuple, d’une part, est loin d’être idiot et il sait bien que les socialistes ont voté hier les mesures qu'ils critiquent aujourd'hui.
Mais les socialistes dionysiens, pour de simples raisons politiciennes, ne veulent visiblement pas assumer le bilan du Conseil général. Gilbert Annette et ses troupes nous disent donc très clairement n'être pour rien dans le chèque santé, n'avoir jamais voulu l’amélioration de l’habitat, la carte libre circulation, les bourses pour les étudiants, les chèques marmailles, le chèque électricité, et que sais-je encore !
"C'est pas nous, c'est elle qui a mis tout ça en place ! C'est pas nous qui avons amélioré votre quotidien, c'est pas nous qui vous avons soulagé, c'est Nassimah Dindar qui l'a fait, et on n'était pas d'accord !", expliquent-ils en se désolidarisant de la majorité. Pas sûr que dans les autres communes, le camp socialiste apprécie ce discours suicidaire.
Car, évidemment, cette posture absurde va nuire aux autres socialistes, à ceux qui comme Vlody par exemple, n’ont pas de caillou "Nassimah Dindar" dans leur chaussure… Oui, sans doute. Mais qu’importe pour le caporal Annette ! Il a déjà mené le parti socialiste à la division, il peut maintenant le conduire à sa perte. Tant que sa famille ne pâtit pas de l’effondrement, le monde peut bien s’écrouler.
Pas question, pour autant, de s’exposer en personne : le risque est trop grand. Le caporal n'est pas stupide, il faut le lui reconnaître. Donc il fait appel à de la chair-à-canon, à des soldats qui montent au front quitte à s’y faire canarder par la presse et la population.
Ils ne sont cependant pas très nombreux, ceux qui sont prêts à se sacrifier ainsi. Le tour est vite fait. Entre deux déplacements sur Paris, Monique Orphé passe à la revue. "Soldat Orphé", appelle le caporal. "Présent", répond Orphé, immédiatement au garde-à-vous. "Va attaquer le Conseil général", ordonne le caporal.
Et c’est comme ça que Monique Orphé est devenue ridicule…."
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